Pour de nombreux concepteurs, le mur végétalisé constitue le meilleur moyen de réintroduire la botanique et la biodiversité dans la ville.
Façade du musée du Quai Branly, Paris
Esthétique mais aussi écologique, le mur végétalisé possède un fort potentiel dépolluant : les plantes retiennent les poussières, piègent le CO2 et libèrent de l’oxygène. Il constitue également un excellent isolant phonique. Il peut servir à la réalisation d’écrans antibruit grâce au système racinaire qui produit un effet « ressort », absorbant les sons et réduisant la réverbération en façade. L’affaiblissement peut atteindre 61 dB et l’absorption 18 dB (classe A4).
Le plus grand mur végétalisé se trouve à Rozzano, à la périphérie de Milan. Il constitue la façade d’un centre commercial d’une superficie de 1262,85 m². Véritable jardin vertical, il comprend 44.000 plantes appartenant à plus de 200 espèces. Il a fait son entrée dans le livre de Guinness des records le 16 septembre 2012.
Mur végétalisé du centre commercial de Rozzano, Milan
Seul inconvenant, le mur végétalisé est complexe à installer. Néanmoins, les techniques apparues dans les années 1990 et 2000 ne cessent d’être améliorées. Elles permettent d’installer des plantations de tout type à l’extérieur comme à l’intérieur du bâtiment.
Source : http://www.lemoniteur.fr/
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selon les architectes paysagistes le cout au M2 serait de 50 000 DA en Algerie
Véronique FAUVERNIER · août 17, 15:20ceci étant l’intégration de ces espaces verticaux dans nos villes pourrait être une solution esthétique palliative a la fameuse pierre ou a l’éternel chaulage
Vous avez une belle réalisation à la Colonne Voirol ALGER. Surface totale : Végétalisation + fresques = 1 500 m2